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OBJECTIF 1:
 
Etude, partage des Connaissances et protection de l'espèce Vulpes vulpes par divers moyens pédagogiques afin de réhabiliter le Renard roux à sa réalité bio-écologique

Le Renard roux, ambassadeur emblématique des petits carnivores autochtones et des espèces "susceptibles d'occasionner des dégâts"


OBJECTIF 2:

 
le Refuge* pour Renards roux contraints 

à la captivité définitive pour diverses raisons généralement

inhérentes à des activités humaines



Sauver pour sensibiliser, émerveiller, éduquer

 

Se préoccuper d'une espèce seulement quand elle est en danger de disparition est un non-sens! Agir avant n'est pas évident, agir après est trop tard

 Connaître pour comprendre, comprendre pour aimer et aimer pour protéger 

Parce qu'il y a ceux dont on ne parle pas.

En France, ce sont entre 500 000 et 1 million de Renards qui sont tués chaque année à la chasse, toutes pratiques confondues, tir, chasse à courre, vénerie sous terre, piègeage ...

sans compter le macabre constat routier.

(Les individus morts de causes naturelles (maladies telle la gale, rarement de vieillesse) ne sont généralement pas trouvés)

On parle peu des Renards laissés pour morts, ceux qui agonisent, abandonnés vivants, écorchés, ensanglantés ou orphelins. Ceux que de bonnes volontés acheminent vers des structures "adaptées", souvent refusés par les vétérinaires (...) et normalement légalement euthanasiés à leur arrivée en Centre de soins (quand ils sont autorisés à les accueillir) parce que "nuisibles" 

T'es pris, t'es mort!

Des Centres bravent quand même l'interdit ou ont des dérogations.

Il y a ceux aussi que l'ont abat parce que recueillis illégalement par des particuliers qui ont cru bien faire ou non, ou d'autres que la mort délivre de la cage du chasseur qui entraine ses chiens.

Puis il y a ceux dont on ne parle pas. Les Rescapés, ceux qui s'en sortent, qui ont été soignés, rééduqués mais qui au final gardent des séquelles, les stigmates d'actions humaines qui les empêchent de retourner à la vie sauvage et d'y survivre. Handicap, imprégnation... Et pourtant plein d'énergie, d'appétit, de vie. Ils n'ont rien demandé sinon  de vivre. Que faire alors? Pendant que chacun débât en leur nom, le Clos des Renardises se démène pour son Refuge et faire référence dans cette nouvelle vague de défense animale.

Education à la nature

- l'information, la communication

- la recherche et les rapports d'études,  la documentation,

- la collaboration scientifique

- les campagnes en faveur de l’espèce 

- prestations pour divers publics, activités, animations, ateliers 

- des participations : expositions, festivals, salons, événements divers

pour

la connaissance et la protection du Renard roux

 

Vente de produits et services au profit de l’association 

Le Refuge, ce sera quoi?

 

- Lieu de recueil d’individus contraints à la captivité définitive pour diverses raisons : la perte d’autonomie indispensable à la survie en milieu naturel - imprégnation et handicap 

- L’orientation d’actions de sensibilisation, de prévention, de connaissance sur l'espèce en particulier et sur les enjeux environnementaux en général, la biodiversité, la législation. (Scolaires, tous publics, publics fragilisés…) par la pédagogie

- La mise en place d’un service de médiation faune sauvage.

"Petits mammifères carnivores".

- La Collaboration (centres de soins, vétérinaires, ofb): saisies, régularisation de situation, accueil temporaire (transit) ou définitif

- Participation à des programmes agréés d’études sur l’espèce:  prophylaxie, éthologie et comportement, biologie, physiologie; motiver des programmes d’étude des populations

- Former des professionnels sur les connaissances de l’espèce et les attitudes à tenir - pompiers, gendarmes, gardes OFB - ainsi que du personnel et des membres d’associations de protection de l’environnement, des  vétérinaires et leurs ASV, des stagiaires, des bénévoles

 

Provenance des animaux :

Initialement issus du milieu naturel dont la détresse à engendré l'intervention de l'Homme.

Circonstances :

- animaux issus du milieu naturel blessés, malades, en détresse recueillis et soignés en centre de soins à la faune sauvage présentant à terme des séquelles induisant une perte d’autonomie, un handicap viable, une incapacité physique, biologique ou comportementale de recouvrer les fonctions indispensables à la vie sauvage.

- animaux issus de structures diverses (faillite de zoo, restructuration de parcs animaliers, décès de "propriétaire", hospitalisation, déménagement)

- animaux sauvages détenus illégalement ayant fait l’objet de saisie (police de l'enironnement) et par leur statuts en plus des inaptitudes à la réinsertion en milieu naturel (imprégnation, séquelles de mauvais traitements) ne peuvent être relâchés - relâché interdit (espèces susceptibles d’occasionner des dégâts).

 

Notre Centre d'accueil ne sera pas un centre de soins à la faune sauvage. 

Captivité définitive ou transit.

Le Centre ne sera ni un zoo ni un parc animalier touristique

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